mardi 26 octobre 2010

L'affaire bête en cours est absolument odieuse, comme les médias, comme la france, comme l'humain.

L'affaire bête en cours est absolument odieuse, comme les médias, comme la france, comme l'humain.

En vrais, on ne sait pas comment commencer, parce que ça ressemble à une fin de monde, ou pire, un constat de l'humanité d'aujourd'hui, or, il faut des coupables, du sang, des abandonnables.
Critiquer l'humain et l'état calamiteux de ses préoccupations modernes, ipod, pokemon, star académies, loft story, pire, son inaptitude à se révolter, le plus souvent possible, pire en faite, l'inutilité d'une révolution mené par des sots chassant des ignobles tirant plus futés.
On se ferait vite piéger, tel oroboros, le serpent qui se mort la queue, à plonger de plein pied dans les contre piège en ayant voulus éviter les pièges.
Merde, merde, c'est simple, l'affaire bête en cours, c'est un condensé de tout la merde que nous balance cette grosse pute de presse, celle la même qui manipule, ment, et, en somme, est une source de mal.

Ok, madame bête en cours est une des femmes les plus riche de France et du monde, ok elle trempe dans la finance et la politique, ok, y'a tout les éléments qu'adore la presse, qui donne son gras juteux a des porcs épuisés, bêtes et vulgaires s'empressant, avec leurs putains de cerveaux mous, de balancer du "ouais, c'est dégueulasse, ouais, tant mieux, les riches, qui nous la mettent profond, s'entretuent" et quoi, pour toute victoire, rien, l'élévation spirituel, rien, le développement personnel, rien, la progression de la société, rien, juste une putain d'enflure de presse à la con, une vielle et ses héritiers qui se foutent la honte, et un peuple populo qui jouit vilainement et bavarde fort des idées faibles. Merde, merde.

Et a qui la faute ? La presse. Celle la même qui juge tout, qui se place au milieu, dans le juste équilibre, presse à la con, presse de merde !
Pire, les produits l'oreal, c'est des couilles de rats et des yeux de poulpes, avec des parfums de pute de luxe et quelques medocs à la con, que des pauvres pouffiasses prolos s'etallent sur la tronche afin de tendre leurs peaux et d'échapper à la vieillesse.
Et puis l'argent, ce truc en papelard que personne n'a vraiment, cette petite carotte qui nous damne, au point qu'on est tous devenu des petites putes sans âme, des petits menteurs, des petits voraces, merde, on est à peut près tous des demi merdes ! Et trouvez moi le poète révolutionnaire intègre, le messie anti thune, celui là, moi le premier, se courbera sévère devant le beau bifeton de 100 euros, sourire niais, courbette d'esclave....

Je vous le dis, l'affaire bête en cours, c'est une seule et unique chose, un bon plan gérontophile sadomasochiste refoulé qu'une presse merdique refoule.

En somme, allez tous vous faire enculer !




En vrais, on ne sait pas comment commencer, parce que ça ressemble à une fin de monde, ou pire, un constat de l'humanité d'aujourd'hui, or, il faut des coupables, du sang, des abandonnables.
Critiquer l'humain et l'état calamiteux de ses préoccupations modernes, ipod, pokemon, star académies, loft story, pire, son inaptitude à se révolter, le plus souvent possible, pire en faite, l'inutilité d'une révolution mené par des sots chassant des ignobles tirant plus futés.
On se ferait vite piéger, tel oroboros, le serpent qui se mort la queue, à plonger de plein pied dans les contre piège en ayant voulus éviter les pièges.
Merde, merde, c'est simple, l'affaire bête en cours, c'est un condensé de tout la merde que nous balance cette grosse pute de presse, celle la même qui manipule, ment, et, en somme, est une source de mal.

Ok, madame bête en cours est une des femmes les plus riche de France et du monde, ok elle trempe dans la finance et la politique, ok, y'a tout les éléments qu'adore la presse, qui donne son gras juteux a des porcs épuisés, bêtes et vulgaires s'empressant, avec leurs putains de cerveaux mous, de balancer du "ouais, c'est dégueulasse, ouais, tant mieux, les riches, qui nous la mettent profond, s'entretuent" et quoi, pour toute victoire, rien, l'élévation spirituel, rien, le développement personnel, rien, la progression de la société, rien, juste une putain d'enflure de presse à la con, une vielle et ses héritiers qui se foutent la honte, et un peuple populo qui jouit vilainement et bavarde fort des idées faibles. Merde, merde.

Et a qui la faute ? La presse. Celle la même qui juge tout, qui se place au milieu, dans le juste équilibre, presse à la con, presse de merde !
Pire, les produits l'oreal, c'est des couilles de rats et des yeux de poulpes, avec des parfums de pute de luxe et quelques medocs à la con, que des pauvres pouffiasses prolos s'étalent sur la tronche afin de tendre leurs peaux et d'échapper à la vieillesse.
Et puis l'argent, ce truc en papelard que personne n'a vraiment, cette petite carotte qui nous damne, au point qu'on est tous devenu des petites putes sans âme, des petits menteurs, des petits voraces, merde, on est à peut près tous des demi merdes ! Et trouvez moi le poète révolutionnaire intègre, le messie anti thune, celui là, moi le premier, se courbera sévère devant le beau bifeton de 100 euros, sourire niais, courbette d'esclave....

Je vous le dis, l'affaire bête en cours, c'est une seule et unique chose, un bon plan gérontophile sadomasochiste refoulé qu'une presse merdique refoule.

En somme, allez tous vous faire enculer !

samedi 23 octobre 2010

Super graphiks

J'avais de la neige dans la tronche, une putain de neige épuisante et puis merde, il me fallait survivre, malgré cette longue route blanche qui me congelait les pieds.
Elle m'avait dit : "tu fais bien attention a toi mon ange hein ?" Putain de merde, ce que j'aurais dut l'écouter.
Alors là, je marchais, flippant que le seul véhicule que je croise soit celui d'un putain de pédé de camionneur ou autre psycho à la con ! Pas de scooter en tout cas, la neige tombait, speedante, glaciale, dense et moi, juste, j'avais l'impression de crever, merde, j'étais en danger, en danger pour de vrais. Y'a pas à dire, ces pédés de poètes qui chantent la beauté de la nature, et tout ces cons d'écolos, ben ils connaissent pas le coté flippant de ce putain de globe terrestre, un bon lait chaud, un pull à col roulé, une cheminé, des beaux meubles mi design mi bourge, une chaîne hifi pas trop merdique avec des enceintes parfaites, et une vrais bonne playlist de jazz, voilà, voilà putain de merde ce qu'il faut à l'humanité toute entière, un habitat de luxe et la bouffe qui va avec, des hôpitaux supra performant et des moyens de transport, tout est dit.
Mais non, on va nous fracasser la tronche avec le travail, le job, l'honneur des constructeurs ! Merde ! Merde ! 90% des richesses sont possédé par 10% de la population. Donc, si vous êtes pas de ceux là, l'argent, oubliez, pensez à la hache et aux flingues, et le job ? Le job putain de merde, c'est de prendre, de casser, de retourner tout aux 10% d'enfoirés qui se la coulent douce. Et c'est pour ça que je suis sur cette putain de route glacé, parce que j'ai refusé le job à la con, mal payé, qui me prenait 8 heures par jours, 10 en comptant les transports, 11 en comptant l'heure du repas, ou dans une putain de ville éloigné de chez moi, je bouffais des putain de sandwich supra chère, merde, les enculés, on est mal payé et tout est cher, c'est putain de simple, ça doit être redit : 90% des richesses appartiennent à 10% de la population.
Quoi d'autre ? Ben c'est simple, si vous voulez inverser les proportions, ben d'une, vous n'y arriverez pas, et si, mais vraiment au mieux, vous commencez à réussir, ben vous vous ferez flinguer comme une merde, et les gens diront : "c'est un martyr, c'est injuste" et quoi ? Les gosses de 18 ans diront : "monde de merde" et les gosses de 48 ans diront "encore quelques dollars, quelques années, et ils ne pourront plus exploiter mon vieux corps fatigué." Moi, un jours, je me suis dit "ben des que je serais vieux, je deviendrai clochard", parce que taxer sans amour propre deux ou trois piécettes en faisant pitié, ben c'est ce qui peut arriver de mieux à un vieillard, le coté joli pull et belle maison, ça se vit jeune, pas vieux et crevant.
Il me reste quoi ? Une centaine de kilomètre avant la première ville à la con. Ou quoi ? 2400 minutes avant qu'une putain de bagnole à la con me passe devant et ne s'arrête pas ! Nord des États-Unis, moins dix degrés, grosse neige, y'a pas, c'est beau, c'est blanc, mais merde, c'est mortel ce froid d'enfoiré !
Tout a commencé comme ça, en France, à Paris, j'étais tranquillement chez moi, sans le pull, sans la sono, sans le bon chocolat chaud, mais avec un putain d'environnement logique et viable.......

samedi 14 août 2010

Elwood Angels

Des qu'il se réveillait, magnifiquement accompagné ou seul, quelque soit l'heure,inlassablement, il prenait un carnet brun des manufactures Shripendave, et, commençait à nourrir son cerveau des bienfaits que ressentent les artistes, émues par les délices de la vie qu'interprètent les amoureux.